mon blog !

bonne anniversaire mon amour

je sais que je n'ai pas étais super pendand ces vacances mais que pour moi cela était les meilleurs vacances au monde que j'ai jamais passé de toute ma vie.
Je sais que tu m'aime et je pense que ta remarqué que je t'aimais mais... Par moment je me sens mal je te l'avoue on se parle pas et dès que je parle de quelques choses de serieu tu balance une grosse connerie pour tout casser... peu etre que pour toi on ne va pas allé trés loin que c'est juste une petite amourette ( quoi non je le sais tres bien que t'es pas comme ca) mais je sais que tu profite de l'instant present et que moi je me prend la tète a m'imaginé plein de truc.
En tout cas je t'aime mon bébé et je t'aimerais toujours je crois mais je dois t'avoué un truc... Si ca continue comme ca si on continue a... je c pas mais si je me sens de plus en plus mal avec toi... je suis pas sur que l'on restre très lontemps ensemble mon amour mais ce n'ai pas un reproche envers toi je sais que ce n'ai pas ta faute mais je trouve que je me sens de plus en plus comme ca. Mais je me sens de plus en plus bien aussi avec toi... et sache que je t'aime et que je ne te quiterais jamais sur un coup de tète mon bébé ! b'zoo

     je t'aime !

aujourd'hui rentré de vacances manifique et voila enfin le moment ou je me retrouve seul
il faut bien que cela arrive un jour ou l'autre mais... je n'aime pas ca autant que je veux le fair croire. il y pas enormement de personnes que j'apressi sur cette planette je m'en rend de plus en plus conte parce que... je ne fait plus confiance au gens. j'en est trop bavé a aimé des gens comme si c'etait un frere et me rendre conte qu'il cherche même pas a comprendre se que je ressen : je ne suis pas une suisidaire ni une deprimé de la vie pour certain vous ne me connaissé pas et j'ai même pas envi que vous me connaissiez je vie ma vie qui d'aprés vous ne me plait pas mais je ne suis pas une enfant martire j'ai 2 parents normal 2 seurs et un homme par dessu tous que j'aime... je suis comme je suis et je croi que j'ai horreur qu'on me critique quand on me connait pas j'ai un assez mauvais souvenir du lycée en ecrivan ca... j'espere qu'il comprendrons que je prefere etre seul même si je n'aime pas forcement la solitude enfin... je prefere etre seul que d'etre avec des connaissence... ou des copain peu importe le nom. mais là je sort de vacance avec mon homme et ca ca change tout... je l'aime il est ma raison de vivre san lui je croi que vous auriez pus dir que je suis une suicidair mais tan qu'il sera là je n'aurais aucune envi d'en finir avec ma vie...

bisarement le klub des loosers semble plaire a quelques personnes ils ont fortement aprecier mon sens de l'autodérision je me demande ce qu'ils diront en aprenant que mon corp pourri lentement a une corde ca c'est mon sens de l'auto-pendaison malgres mes lunnettes j'ai peur que les corbos viennent manger mes yeux quelque part c'est mieux je n'aurais plus a suporté la vision immonde de toutes vos tétes en même temp on ne voi plus lorsqu'on est mort ce que je dit n'a pas de sens ce qui m'enpéche pas d'etre gentil depuis ma naissence je voulais juste trouver lamour j'ai chercher partout dans les poubelles de ma voisine où des plats de paëla, cotons et des tampax usager mais il n'y été pas a linterieur de ce canard que j'avais ouvert pour voir coment c'est dedans un canar mais il n'y été pas, pas plus qu'au fond de mon paquet de cornflesk il n'y avait qu'un luttin en plastik vert je l'avais deja en double j'étais triste ! tré triste en regardant vers lorizon j'ai vu ma joi qui s'enfuyé je lui est di " REVIEN ! " elle m'a fait "DEGADE ! " dés lors le monde m'apparéssais comme un livre interminable ou tout les jours je souhaitais pouvoir en arrivé aux dernieres pages mais un jour devant une fille je me suis sentis tout bisard le soir en pensant a elle je me sentais tellement bisard que je pensais être amoureux j'aurais voulu qu'on me félisite mais les médecin on di que j'avais juste l'apindicite en motant cette partie de mon corp ils ne se doutaient pas qu'ils motaient également l'espoir de pouvoir approcher un jour au bonheur car parait il seul l'amour peu s'introduir en lui.

j'men fiche maintenant enfermé dans ma chambre j'boi des bierres toute la journée je n'attant rien de cette vie ce qui n'est pas trop grave je pense trouvé le moyen de metre un terme définitif a tou ce sentiment d'ennuit

je ne sais pas si c'est moi ki a completement changer ou si c vou je ne vou comprend plus je me reveil un matin et il n'y a plu rien comme tou na pa pu changer d'un cou c'est finalement moi mai pk ? tou aller si bien je fesais mon petit train-train mai la mort ne voulai pa moublier el ma retrouver et a tou fais pour ke je retombe deds je me ss mi a me detester moi mm et tou ceu ki pouvai maidé je me ss renfermer sur moi mm seul ds ma chambre avec mon couto a la main persone ne se douté de rien il contunié leur vu si bien et un beau matin ma mere rentran ds ma chambre pour me reveiller ouvran la porte rapidement ne se doutan pa du spectacle ki latten elle me regarder elle etai tetaniserne pouvan mm pa hurlé elle saprocha plus tard de mon buro kan les pompier mavai transporter elle pouvai lire sur un petit bou de papier kelke mo ki été marker : "ne vou inkieter pa pour moi je v bien a present !"

Je m’enferme entre 4 murs.

Je ne veux plus voir, ni entendre, ni ressentir.

J’ai trop mal je dois partir.

Excuse moi !

J’aperçois ma lame qui dépasse de mes draps

Tachés de sang de la veille.

Je porte l’objet de ma délivrance à mon cou

En espérant que tu n’entres pas à ce moment-là.

La lame tranche ma gorge dans un cri de désespoir

Et mon sang éclabousse la vitre.

Des milliers de pensées me viennent à l’idée.

Mes larmes s’échappent.Je tremble.Je ne sens plus mon corps..

Je pense à toi, mon amour, qui ne te doute de rien à cet instant là.

Je perds connaissance

Et m’écrase contre la vitre dans un bruit de carcasse vide.

Tu arrives en courant…

Allongée sur le sol, la gorge tranchée, la vitre éclaboussée de mon sang.

Je ne peux plus respirer, le regard dans le vide.

Tu me sers contre toi, le visage ravagé les larmes et l’amertume

Et me demande pourquoi un million de fois

Ne pleure pas mon ange, prend cette lame et rejoins-moi…

En haut d'un bâtiment, il y a une enfant. Une gamine de quinze ans est debout là haut. Ses larmes coulent à flots, la peur se lit à chaque instant sur le visage de la gosse. Elle observe le sol, la chute sera longue... Silence
En tout cas elle fut fatale. L'enfant n'existe plus, un ange est apparu.

Ce matin, j'ai ouvert la fenêtre,
J'ai senti quelque chose d'étrange dans l'air...
J'ai levé les yeux vers le ciel,
J'ai vu la pluie tombée,
Et j'ai compris que quelque chose avait changé.
Je ne sais pas pourquoi,
J'ai tout de suite pensé à toi,
J'ai attrapé le téléphone,
Composé ton numéro,
La peur au ventre,
J'ai attendu que tu décroches,
Mais tu ne l'as pas fait...
J'avais un mauvais pressentiment,
Je sentais quelque chose d'étrange,
Des larmes coulaient le long de mes joues,
Je ne comprenais pas pourquoi je me mettais dans cet état,
Car il n'y avait rien de concret,
Juste ce mauvais pressentiment...
Je t'ai appelé une fois, deux fois, trois fois...
Tellement de fois,
Mais tu n'as jamais décroché...
J'ai fini par appeler ta demi-soeur,
Je lui ai demandé ce qu'il se passait,
Pourquoi tu ne décrochais pas,
Elle a commencé à pleurer,
J'ai compris que je ne m'étais pas tromper...
Elle m'a dit que, la nuit dernière, tu avais été renversé,
Par un chauffard, bourré...
Elle m'a dis que tu étais tombé dans le coma,
Et qu'ils ne savaient pas si tu allais te réveiller...
Je n'avais plus la force de parler,
J'ai dis que je rappelerais et j'ai raccroché.
Tout autour de moi s'est écroulé!
J'ai repensé à tous ces moments,
Tous ces souvenirs,
Tous nos délires...
Tu étais mon rayon de soleil,
Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
Mon amour, on avait dit pour toujours...
Je suis allée à l'hopital,
Je suis restée deux semaines à ton chevet,
Je passais mon temps à pleurer, à te regarder,
A espérer...
Mais ton coeur a fini par arrêter de battre,
Les infirmières, les médecins s'agitaient autour de toi,
Essayant en vain, de te faire revivre...
Je suis sortie de cette chambre,
Je marchais sans but dans ce couloir blanc,
Les larmes brouillaient ma vue,
Je suis arrivée à cette fenêtre, on était au cinquième étage...
J'ai regardé une dernière fois derrière moi,
J'ai vu ton corps sans vie sur le lit que poussait l'infirmière,
Je n'ai pas réfléchi, j'ai ouvert cette fenêtre,
Et je suis partie...
Je ne pouvais pas vivre sans toi :
Tu étais mon rayon de soleil,
Mon meilleur ami, on avait dit pour la vie...
Mon amour, on avait dit pour toujours...

ce texte nest pa de moi

mais tu c ke je ferai ca pour toi...

On me dit d'attendre,qu'il faut toujours espérer. La seule chose que j'espère c'est ne pas souffrir lorsque la corde serrera mon cou. Peut-être que je ferais de la peine à certaines personns qui m'aiment mais je ne souffrirais plus.

Ce sont mes yeux qui te pleurent, mon corp qui t'appelle, mes poumons qui te respirent, mes mains qui te touchent et mon coeur que tu blesses.

Mon cerveau ne réfléchit plus, ma main fonctionne seule, la corde se noue autour de mon cou.

Ce sont Mes yeux qui te pleuraient, mon corp qui t'appelaient, mes poumons qui te respiraient, mes mains qui te touchaient et mon coeur que tu blessais mais la corde, elle, continue de me tuer, comme mon amour m'a condamné.

ceci n'est pas un de mes texte...http://suicidaire.skyblog.com

si je te demandai d'etre là

que ferais tu ?

si je te demandai d'etre avec moi

que ferais tu ?

si je te demandai de mamenai chez toi

que ferais tu ?

si je te demandai de m'embrasser

que ferai tu ?

si je te demander de te deshabiller

que ferai tu ?

si je te demander de nous marier

que feerai tu ?

si je te demander de me tromper

que ferais tu ?

si je te demander de me laisser

que ferais tu ?

si je te demander de me frapper

que ferais tu ?

si je te demander de me quitter

que ferais tu ?

si je te demander de me tuer

que ferai tu ?

tu es pres a tou pour me fair plaisir ??

je pensé que s'etait fini
mais aujourd'hui tout a recommencer
j'ai voulu tué ma vie
je ne veux plus pouvoir penser
etre libre de dessider
de ce que je veux faire
de vouloir m'amuser ou sortir
m'occuper de mes affairs
sans tout le temps me contredir
maintenant je préfère oublier
au moment ou j'espèrer
pouvoir au moin m'ensortir
pouvoir enfin vivre
affirmé ce que je veux dire
pouvoir enfin etre libre
je sais que je vais en atrister
mais faut croir que c'est perdu
je suis un cas désespèré
qui rève de superflus
mais là j'etouffe
je vois tout flou
il ne me reste plus qu'un soufle
je ne vois que des fous
je sens que c'est la fin
je n'irais pas bien loin
ja vais pendre mon bain
vous imaginez bien la fin...
j'aurais tellement envie
et même si je t'aime
il faudras que tu m'oublie
a cause de toute cette haines
je suis obliger de partir...
obliger de m'enfuir...
obliger de mourir...